The App Marketing Snack avec Simon Thillay, Head of ASO chez AppTweak ⎮ Episode 6

Interviews

octobre 13, 2022

Cette semaine notre invité est Simon Thillay, Head of ASO chez AppTweak. Il nous partage ses astuces préférées et ce qu’il a appris grâce à son expérience dans l’ASO.

Ci-dessous la traduction de la vidéo

Je m’appelle Simon Thillay, je suis un growth marketer français à l’origine et je suis désormais Head of ASO chez AppTweak. 

Qu’est-ce que tout le monde devrait savoir sur l’ASO?

Même si vous ne pensez pas en faire, vous en faites sûrement et vous devez comprendre si vous le faites mal. Au final, l’ASO est un outil pour améliorer sa visibilité et le taux de conversion de votre trafic. Et puisqu’à peu près toute personne voulant télécharger une application doit le faire via l’App Store ou le Play Store aujourd’hui, vous devez vous y intéresser. Cela aidera tout effort de marketing que vous faites.

Quel est votre top 3 en conseils ASO?

Numéro 1: penchez-vous sur les chiffres qui sont disponibles et recherchez leur signification.

Numéro 2: intégrez l’ASO à votre stratégie de croissance globale. L’ASO fonctionne mieux quand il est établi en coordination avec d’autres efforts, de plus, il aide à connecter ce que vous faisiez avant l’arrivée des client.e.s sur le store avec celles et ceux qui deviendront vos utilisateur.ice.s après.

Enfin, numéro 3: ne vous reposez pas sur vos lauriers. Je sais qu’aujourd’hui encore, beaucoup d’entreprise n’ont pas beaucoup de temps à investir dans l’ASO et certains préfèrent se dire “ok on va investir une fois et le faire bien” sans réaliser que 6 mois plus tard Apple ou Google aura changé son algorithme ou ses fonctionnalités et vous perdrez en classement. 

Parlez-nous d’un challenge ASO que vous avez surmonté 

Un qui m’a particulièrement marqué est lorsque nous avons travaillé avec un jeu très connu qui voulait de l’aide pour localiser leurs screenshots au Japon. C’était un travail de titan parce que nous n’avions qu’un mois pour faire des recherches poussées, faire des maquettes, être approuvé, designer et tester. Il ne s’agissait pas seulement de traduire les screenshots mais de vraiment les adapter aux codes de design et aux pratiques du marché japonais.

Et on a beaucoup appris car ces codes sont très différents de ceux des marchés occidentaux. Par exemple, les screenshots sont bien plus remplis avec trois, quatre, ou cinq différentes couches sur un screenshot. On a dû apprendre et se débarrasser de nos idées préconçues sur le design. C’était intense mais on s’est régalés.

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